En pleine rue, devant l'ambassade d'Ukraine à Paris, quelques activistes ont allègrement uriné sur un portrait du président Viktor Ianoukovitch, pour protester contre sa décision de suspendre la signature d'un accord d'association avec l'Union européenne pour se tourner vers la Russie.
Comment le public s'approprie-t-il le message véhiculé par ce type d'images?
Faut-il provoquer, voire choquer pour se faire entendre?
AnimaNaturalis, une ONG qui lutte pour le droit des animaux, multiplie les actions-choc depuis dix ans. Lors de leur dernière action, des militants de l'organisation se sont entassés sur une place de Barcelone, nus et couverts de faux sang, pour critiquer l'utilisation de cuir et de fourrure d'animaux dans l'industrie textile.
Via: rtbf.be
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