Quand j’entend « Art » j’entend élévation de l’esprit, beauté, ce qui rassemble, ce qui interpelle parfois, qui mène à la réflexion, qui transcende ou témoigne de notre passé historique (glorieux ou non)..

pas au chaos, à la violence, à la division et au bouleversement à visée désacralisante où les croyances d’autrui sont piétinées de la manière la plus abjecte qui soit.. (le lancer de merde, le christ baignant dans l’urine et réduit donc à un déchet organique)...

Comment respecter le mépris qui se dissimule de plus en plus sous la liberté d’expression artistique à l’instar des horreurs en mode réglements de compte déguisés en humour noir...

Ce qui implique que dés le moment ou l’artiste livre son oeuvre au regard ou à l’écoute du public il s’expose à ce que celui ci exprime également son ressenti avec sa propre grille de lecture..

Après l’artiste (ou assimilée comme telle) est parfois décue et frustrée quand les réactions ne sont pas à la hauteur de ses espérances (les femen), genre deux lignes dans les médias, des plaintes en bonne et due forme pour dégradations...

Entre césar, Nikky saint Phalle et les femen et autres provocateurs à tendance scatologique réside toute la différence entre l’art contemporain et l’ art comptant pour rien : ce dernier est voué à tomber à l’oubli.. comme le foie de veau censé représenté un Christ avorté finir en putréfaction...

Via: agoravox.fr

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