13h43 : Le Front national dénonce des "dysfonctionnements". Le parti de Marine Le Pen a dénoncé dimanche "de très nombreux dysfonctionnements" dans le déroulement du scrutin des européennes et accusé le gouvernement "de truquer par les moyens les plus odieux le vote des Français". "Le ministère de l'Intérieur a choisi d'empêcher la victoire du Front national en lui interdisant simplement de concourir en certains endroits du territoire", écrit le FN dans un communiqué.

12h53 : Une cinquantaine d'agriculteurs corses ont temporairement bloqué à Bastia un bureau de vote à 8h. Ils protestaient contre le calcul, défavorable selon eux aux exploitants corses, d'une prime liée à la PAC, a indiqué un porte-parole de l'intersyndicale. Après négociations avec les forces de l'ordre, ils ont levé le blocage vers 10h15.

12h46 : Le président de la Commission européenne a voté. Le Portugais José Manuel Barroso a voté dimanche à Lisbonne et a appelé à une large participation aux élections européennes. "Les élections sont très importantes car une grande partie des lois qui influent sur le quotidien de nos citoyens sont approuvées à Bruxelles et à Strasbourg", a-t-il décmaré.

12h05 : Un taux de participation de 15,70 % à midi en métropole. Un chiffre un peu plus haut qu'en 2004, 13,65%, mais malgré tout très bas et en constante baisse depuis la création des élections européennes.

Midi : François Hollande arrive à Tulle... en voiture. Le chef de l'Etat a effectué environ 5 heures de trajet depuis Paris pour rejoindre son fief corrézien. Le chef de l'Etat, costume sombre et cravate bleue, a accompli son devoir de citoyen européen dans une salle des fêtes de la ville, devant une vingtaine de journalistes. Il était accompagné du maire socialiste de Tulle, Bernard Combes, un proche.

11h30 : Les Femen à Hénin-Beaumont. Quatre membres du groupe des Femen ont manifesté dimanche à Hénin-Beaumont dans le Pas-de-Calais peu avant le vote prévu de Marine Le Pen dans cette municipalité tenue par le FN en appelant, seringues à la main, à administrer un "vaccin antifasciste".

Via: metronews.fr

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