Me Souhaib Bahri, avocat tunisien des accuses --deux Franaises et une Allemande-, a expliqu que la justice n'a pas laiss expirer le dlai lgal de dix jours permettant des associations islamistes de faire appel de la dcision du 12 juin de rejeter leur demande de se constituer partie civile.
"Puisque le dlai n'expire qu'aujourd'hui, le juge n'aura d'autre choix (que de reporter le procs) pour laisser le temps aux associations de faire appel", a-t-il indiqu, pointant du doigt une "faute du ministre public".
Aprs cet imbroglio et l'annonce du report au 26 juin, les dfenseurs franais des militantes emprisonnes depuis le 29 mai et condamnes en premire instance quatre mois de prison pour une manifestation seins nus ont dnonc le flou entretenu par la justice tunisienne.
"L'incertitude en matire judiciaire est le corollaire de l'arbitraire", ont estim Patrick Klugman et Ivan Terel.
"Les autorits judiciaires ttonnent et hsitent et les associations islamistes en profitent", ont-ils dit l'AFP.
Via: icilome.com
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