Une ancienne Femen qui a abandonné, dégoutée, ce mouvement grotesque, a décidé d’écrire un livre pour raconter l’exploitation des militantes par un organisme aux financements douteux et dont le fondateur est un pervers misogyne, qui les considère comme des « salopes sans cervelle ».
Le groupe des Femen, idoles de nos bons journalistes, est ironiquement une sorte de secte dirigée par un gourou misogyne et où toute forme de liberté est enlevée aux militantes, qui doivent plus devenir des robots que des soldates…
La jeune femme nous décrit donc les méthodes de manipulation mentale des Femen, proches des régimes soviétiques (pas étonnant que les journaleux bolchos de Mediapart et Libération adorent les Femen) : «On prépare ton esprit à l’intérieur pour l’extérieur», «tu n’existes plus en tant qu’individu», «tu ne penses plus par toi-même mais par le groupe, tu ingurgites ce qu’on t’apprend», «Femen transforme ton corps et ton esprit». «Répéter encore et toujours les principes fondamentaux(…), il fallait que ça rentre pour qu’à notre tour ça puisse sortir mécaniquement, comme une leçon apprise sur le bout des doigts». «On se sent comme aspirée naturellement, sans violence, vers un total lâcher-prise vis-à-vis du groupe et de la volonté à l’esprit critique (…) Et celles qui s’expriment un peu trop ne tarderont pas à quitter “de leur plein gré” le mouvement».
«Tu acceptes lentement une soumission que tu refuses à l’extérieur, analyse-t-elle. Tu étais venue pour combattre quoi déjà? Ah oui! La soumission des femmes sous couvert de patriarcat». Et «tu gagnes quoi? Le droit de te dire le soir quand tu rentres chez toi seule, que tu t’es battue pour une liberté à laquelle tu n’as toi-même pas droit». Selon son agent littéraire, Omri Ezrati, les Femen «ne respectent pas les femmes, les chefs de bande traitant leurs recrues comme de la chair à canon».
«Les revendications féministes que le groupe n’applique pas en son sein», dénonce enfin l’ancienne Femen revenue de l’enfer.
Pour rappel, une pétition a été lancée contre le timbre poste où la Marianne a été inspirée par la leader des Femen en France, Inna Shevchenko. Une militante subtile qui se vantait de se faire lécher le cul par les Français homophobes grâce à ce timbre…
Pour rappel, les Femen sont logées gratuitement aux frais de la mairie de Paris dans un local associatif, le lavoir.
Pour rappel, un élu a demandé une enquête sur les Femen ainsi que leur dissolution car elles seraient assimilées à des membres d’une secte.
Pour rappel, enfin, les journalistes de France télévision (Caroline Fourest en tête), de Libération, de Canal + et du Monde soutiennent inconditionnellement ces hystériques depuis leur installation en France, sans même jamais être allés leur demander des comptes sur leurs méthodes, ni sur leur financement !
Via: 24heuresactu.com
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