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Dans un communiqué rendu public, ce mercredi 17 juillet 2013, Human Rights Wathch demande que la liberté provisoire soit accordée à Amina Sboui, la Femen tunisienne.
L’ONG demande également que les charges retenues contre Amina, soient réexaminées pour que la Femen ne soit pas jugée pour des plaintes ayant un motif ou un caractère politique.

Le communiqué énumère, un certain nombre « de chefs d’inculpation contestables » ainsi que plusieurs incohérences relevées dans les différentes étapes de l’instruction des procès dont fait l’objet Amina.

Pour finir, Human Rights Watch demande aux autorités tunisiennes de ne pas « utiliser des articles de loi vagues » parce qu’« un tel usage du droit pénal viole les principes de légalité et de prévisibilité » pour que la personne accusée « soit en mesure de déterminer à quel moment son comportement enfreint la loi ».

Via: businessnews.com.tn

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